Participer à l'étude E3N-Générations, c’est contribuer à la recherche et aux politiques de prévention de santé publique.

Octobre 2017 - Le risque de mélanome est augmenté de 62 % chez les femmes ayant un antécédent d’endométriose. Une nouvelle étude a permis d’étendre le suivi de ces femmes et de rechercher une éventuelle augmentation du risque pour d’autres types de cancers de la peau.

Août 2017 - Par le passé, plusieurs études ont suggéré que la maladie était plus fréquente chez les femmes grandes et minces. L'étude E3N a exploré cette question.

Août 2009 - L'équipe E3N a montré que les femmes ayant un antécédent d’endométriose avaient un risque 62 % plus élevé de développer un mélanome que les femmes n’ayant jamais eu cette maladie. Des facteurs génétiques communs pourraient-ils expliquer l’association entre endométriose et mélanome ?

Novembre 2018 - Depuis plusieurs années, les hormones sexuelles sont suspectées d’influencer le développement du mélanome cutané. Les données de la cohorte E3N ont permis d’étudier l’association entre la prise de contraceptifs oraux et le risque de mélanome.

Janvier 2018 - L'équipe E3N exploite, depuis 2015, les données d’une enquête cas-témoin nichée, E3N-SunExp, qui inclut 1 558 cas de cancers cutanés et 3 647 témoins. Exposition aux rayons ultraviolets, compléments solaires et cancers de la peau, l'enquête livre ses premiers résultats.

Juin 2019 - Il existerait un lien entre l’âge de la puberté et le risque de mélanome, les femmes dont l’exposition aux hormones ovariennes est réduite auraient un risque plus faible de mélanome.

Octobre 2007 - L’équipe E3N a souhaité rechercher si le mélanome était lié à des facteurs hormonaux et, en particulier, étudier la relation entre le risque de mélanome et un antécédent de maladie gynécologique bénigne (telle que kyste ovarien, endométriose, fibrome, polype utérin, adénome/fibroadénome du sein et maladie fibrokystique du sein).

Juin 2019 - Bien qu'elle soit associée à un risque accru de maladies cardiovasculaires, la migraine est associée à un risque moindre de développer un diabète de type 2 chez les femmes E3N.

Novembre 2020 - Pour dégraisser et faire briller, les produits ménagers sont bien pratiques. Mais, sous forme de spray ou contenant des agents irritants, ils ne font pas bon ménage avec les crises d'asthme. Deux publications scientifiques portant sur les données des femmes de la première génération le montrent.